@article{oai:konan-u.repo.nii.ac.jp:00000423, author = {シッシュ, ディディエ and CHICHE, Dideier}, journal = {言語と文化, Language and Culture : The Journal of the Institute for Language and Culture}, month = {Mar}, note = {application/pdf, En France, beaucoup de representations collectives remontent a la fin du XVIIleme siecle, et surtout au XIXeme. C'est en effet la centralisation de l'education, ebauchee par la Revolution, poursuivie par Napo1eon et parachevee par la Republique, qui a permis le consensus des citoyens autour de grandes idees communement admises, transmises par les textes "canoniques" et par l'Ecole, et qui ont constitue le socle de ce qu'on appelle la mentalite francaise. Parmi ces representations, particulierement importante est celle de l'Allemagne. Importante parce qu'elle met face a face deux peuples qui, en moins d'un siecle, ont connu trois violents affrontements. Importante aussi, parce que cette representation est susceptible, encore aujourd'hui, de peser sur la construction de l'Europe. Et c'est ce que je voudrais evoquer ici, en me reportant a des ecrivains que l'on croit connaitre (alors qu'en realite beaucoup de leurs ecrits restent a redecouvrir), mais egalement, et de facon complementaire, a l'etude des "verites" longtemps enseignees a l'Ecole, et qui, le plus souvent indirectement, en disent long.}, pages = {187--204}, title = {Quelques reflexions sur le XIXeme siecle francais et l'Allemagne : entre Victor Hugo et Jules Verne}, volume = {9}, year = {2005} }